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SAGE Publications, Journal of Palliative Care, 3(30), p. 141-150, 2014

DOI: 10.1177/082585971403000303

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Factors Associated with Fulfilling the Preference for Dying at Home among Cancer Patients: The role of general practitioners

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Abstract

Aim: This study aimed to explore clinical and care-related factors associated with fulfilling cancer patients’ preference for home death across four countries: Belgium (BE), the Netherlands (NL), Italy (IT), and Spain (ES). Methods: A mortality follow-back study was undertaken from 2009 to 2011 via representative networks of general practitioners (GPs). The study included all patients aged 18 and over who had died of cancer and whose home death preference and place of death were known by the GP. Factors associated with meeting home death preference were tested using multivariable logistic regressions. Results: Among 2,048 deceased patients, preferred and actual place of death was known in 42.6 percent of cases. Home death preference met ranged from 65.5 to 90.9 percent. Country-specific factors included older age in BE, and decisionmaking capacity and being female in the NL GPs’ provision of palliative care was positively associated with meeting home death preference. Odds ratios (ORs) were: BE: 9.9 (95 percent confidence interval [CI] 3.7–26.6); NL: 9.7 (2.4–39.9); and IT: 2.6 (1.2–5.5). ORs for Spain are not shown because a multivariate model was not performed. Conclusion: Those who develop policy to facilitate home death need to examine available resources for primary end-of-life care. But: Cette étude avait pour objectif d'examiner les facteurs cliniques associés aux demandes des patients désirant mourir à la maison. Cette re-cherche s'étendait sur quatre pays soit la Belgique, les Pays-Bas, l'Italie, et l'Espagne. Méthode: Par l'inter-médaire des réseaux représentatifs d'omnipraticiens, nous avons pu faire un suivi rétrospectif des mortalités survenues durant les années 2009, 2010, et 2011. Cette étude comprenait les patients agés de 18 ans et plus morts du cancer et dont les médecins connaissaient tout autant les volontés de pouvoir mourir à la maison que l'endroit où les patients étaient morts. Les facteurs correspondants aux préférences des patients ont été validés à l'aide de la méthode statistique de regression logistique à variables multiples. Résultats: Parmi les 2 048 personnes décédées on connaissait, chez 42,6 pourcent d'entre elles, la préférence et l'endroit de la mort. Le choix de mourir à domicile variait de 65,5 pourcent à 90,9 pourcent. Les facteurs spécifiques à certains pays étaient l'âge avancé pour la Belgique et, pour les Pays-Bas, la capacité décisionnelle et le fait d'être de sexe feminin. La prestation des soins palliatifs par les omnipraticiens est associée de façon positive au choix de mourir à la maison. Les rapports de probabilités étaient les suivants: Belgique: 9,9 [95 pourcent d'intervalle de fiabilité (3,7–26,6)], Pays-Bas: 9,7 (2,4–39,9) et l'Italie: 2,6 (1,2–5,5). Les facteurs de probabilité pour l'Espagne ne sont pas indiqués car on n'a pas fait d'analyse selon le modèle multivariable. Conclusion: Les professionnels de la santé ayant pour tâche d'établir les politiques pour faciliter la mort à la maison doivent connnaître toutes les resources dont ils disposent dans leur communauté afin de pouvoir offrir les soins de première ligne à domicile.